Règles douloureuses…NON!!!
- à juillet 02, 2014
- Par Ben Admin
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En finir avec les règles douloureuses
Les règles douloureuses (dysménorrhées) concernent une femme sur deux après la puberté. Elles se manifestent par des douleurs dans le bas du ventre et parfois en bas du dos. Elle commencent 1 à 3 jours avant les règles et peuvent durer quelques jours après. Elles sont très handicapantes et souvent nécessitent la prise de médicaments.
L’ostéopathie fonctionne très bien. Dans pratiquement 90% des cas, il y a une amélioration durable des symptômes et très souvent l’arrêt des douleurs et donc le retour du bien-être. L’ostéopathe va travailler grâce à des manipulations très douces,sur le système viscero/gynéco/urinaire de la patiente, sur le crâne ainsi que le bassin.
De trop nombreuses femmes souffrent plusieurs jours par mois alors que des solutions rapides et simples existent. Consultez !!
Le café au lait : à bannir de son alimentation!
- à novembre 13, 2012
- Par Ben Admin
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S’il y a une chose simple à faire pour améliorer sa santé aujourd’hui et demain, c’est de ne plus consommer de café au lait.
En effet, l’association du lait et du café est un véritable poison hépatique. Le tanin contenu dans le café (ou certains thés) précipite la caséine, protéine du lait, qui devient sur-indigeste.
Depuis plus de quinze ans de consultation, j’ai vu un nombre impressionnant de symptômes disparaître après l’arrêt de cette boisson.
Le café au lait augmente et/ou crée des douleurs de dos, troubles digestifs, maux de tête, fatigue, mauvais sommeil, etc.
Ostéopathie et plagiocéphalie: Inséparable !
- à octobre 17, 2011
- Par Ben Admin
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Du « mépris » au casque de remodelage en passant par l’ostéopathie, il y a plusieurs options possibles vis-à-vis des plagiocéphalies posturales du nourrisson. Une connaissance précise de l’évolution naturelle de ces déformations du crâne éclairerait les pédiatres.
Un centre néo-zélandais spécialisé rapporte le devenir à l’âge de 4 ans de 129 plagiocéphalies posturales – brachycéphalies comprises – vues pour la première fois avant 1 an et seulement traitées par positionnement de la tête ± kinésithérapie, ce qui se rapproche le plus d’une évolution naturelle.
La déformation du crâne a été appréciée dans le plan du périmètre crânien à l’aide de l’index céphalique (IC= [d. bipariétal/d. antéro-postérieur] x 100, élevé dans les brachycéphalies) et du rapport des diamètres obliquesA l’examen fait avant 1 an, 47 % des enfants avaient une déformation sévère (IC >99 et/ou RDO >100), 31 % une déformation modérée et 22 % une légère déformation.
A l’examen de 4 ans (extrêmes : 39-57 mois), 61 % des enfants avaient des mensurations du crâne dans les limites de la normale (IC <93 et RDO <106), mais, à l’opposé, 13 % (n=17) avaient des mauvais résultats en raison d’une aggravation, de la persistance d’une déformation sévère ou d’une absence d’amélioration.
Seulement 4 % des enfants présentaient toujours une déformation sévère, très peu une bosse frontale ou une asymétrie faciale, et aucun une anomalie de la mobilité du cou (très fréquente au départ).Toutes les brachycéphalies se sont améliorées.
Des retards de développement ont été recherchés avec des questionnaires sur les âges et les stades (Ages and Stages Questionnaire [ASQ]) remplis par les parents.
Initialement, les questionnaires indiquaient un retard de développement dans un domaine ou plus chez 41 % des enfants, la motricité globale en premier lieu.
A 4 ans, la fréquence des retards était descendue à 11 %, une valeur similaire à celle trouvée dans la population générale. Par rapport aux bons résultats, les enfants qui avaient de mauvais résultats gardaient plus de retards de développement (28 % versus 8 % ; p=0,02).
Enfin, les inquiétudes initiales concernant la forme de la tête s’étaient plus ou moins dissipées à 4 ans chez 87 % des parents.
Au total, globalement les plagiocéphalies posturales et les retards de développement qui les accompagnaient avaient régressé avant la scolarisation. Cette conclusion optimiste doit être tempérée sur le plan morphologique : elle repose sur des mensurations bidimensionnelles du crâne et elle néglige le petit pourcentage de plagiocéphalies asymétriques qui ne s’améliorent pas. Il serait important de pouvoir repérer précocement ces plagiocéphalies, qui ne sont pas toujours sévères initialement.
Dr Jean-Marc Retbi
L’ostéopathie a une action sur le syndrome de l’intestin irritable.
- à octobre 17, 2011
- Par Ben Admin
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L’ostéopathie est-elle efficace pour soulager les patients atteints d’un syndrome de l’intestin irritable ?
Auteurs : T.-V. Attali, M. Bouchoucha, R. Benamouzig
Introduction
Le recours aux thérapeutiques alternatives est important au cours du SII. L’ostéopathie est un traitement manuel fondé sur la mobilisation et la manipulation ayant pour objectif de soulager les plaintes. Le but de cette étude est d’évaluer par une méthodologie rigoureuse l’intérêt d’un traitement ostéopathique du SII sur des critères cliniques subjectifs et objectifs.
Patients et méthodes
Trente et un patients (8 hommes, âge : 51±2 ans) ont été inclus dans cette étude prospective qui comprenait deux phases successives d’une durée de 6 semaines chacune, randomisées avec cross over : traitement selon un protocole d’ostéopathie standardisé vs manipulation “placebo” . A l’inclusion, une exploration clinique, basée sur les critères de Rome III et l’évaluation de quatre symptômes (constipation, diarrhée, météorisme, et douleur abdominale) sous forme d’échelle visuelle analogique (EVA) accompagnée d’une mesure du transit colique à l’aide des marqueurs radio-opaque (PLASTIMED, France) et une étude de la sensibilité rectale étaient réalisées par un investigateur indépendant, en aveugle du bras attribué. Chaque phase comportait 3 séances pratiquées à 2 semaines d’intervalle. A la fin de chacune de ces phases une évaluation clinique comparable à celle réalisée à l’inclusion (sensibilité, transit, EVA) était réalisée. L’analyse statistique a été effectuée à l’aide de tests non paramétriques pour séries appariées (Tests de Friedman et tests des signes). Le test étant bilatéral, la p-value est comparée au seuil de signification alpha/2 : 0.025.
Résultats
Ces résultats montrent l’intérêt de l’ostéopathie pour le traitement des signes fonctionnels des patients souffrant de SII.
- Voir le diaporama de la présentation lors des journées francophones d’hépato-gastroentérologie et d’Oncologie digestive le 24-27 mars 2011 au Plais des Congrès de Paris
- Voir également le résumé sur le livret du colloque (page 9 référence CO.16)
Ostéopathie au cours du syndrome de l’intestin irritable : étude randomisée contrôlée versus technique fictive
Auteurs : F. Blanche-Maëlle, S. Marjoux, J.-P. Laurens, J.-L. Payrouse, X. Hébuterne, T. Piche (Nice).
Introduction
L’ostéopathie est un traitement alternatif qui pourrait être utile au cours du syndrome de l’intestin irritable (SII). L’effet de l’ostéopathie sur la sévérité des symptômes de SII reste mal documenté. Le but de l’étude était d’évaluer l’effet de l’ostéopathie sur la sévérité du SII dans une étude contrôlée contre procédure fictive.
Conclusion
L’ostéopathie permet d’améliorer la sévérité du SII à court terme, en particulier les douleurs et l’inconfort digestifs. Le mécanisme d’action de l’ostéopathie repose plus sur un effet lié aux manipulations vertébrales qu’ au contrôle des troubles psychologiques.
- Lire le résumé de l’étude
- Voir également le résumé sur le livret du colloque (page 10 référence CO.17).
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